Le chat, Lewis et moi » ce sera le 23 décembre à 15h à la salle des fêtes de Margon en faveur de l’association de chats, les minis de Margon, je viens en aide à Claire dont j’approuve l’action pour les chats abandonnés. L’abandon s’est développé depuis 2 ans, en raison d’adoptions spontanées pendant les confinements et les abandons tout aussi spontanés après les confinements. Pendant ces périodes de restrictions, d’autres problèmes sont apparus, l’arrêt des stérilisations des chats libres par les associations de défense des chats.
Les minis de Margon
L’action de Claire est noble, mon soutien à la cause des chats est indéfectible.
Venez , vous verrez un conte magique, poétique et drôle et vous aiderez claire qui se bat aussi au quotidien pour sa santé défaillante
Un abricot sur la tête à Fontès
Ben voilà hier à la médiathèque de Fontès, la joie fut convoquée puisque les enfants etaient presents mais pas que…, j’ai vu cet etat se propager chez les adultes.
Les enfants jouèrent avec le clown Léon pendant le spectacle sans le perturber, un adulte m’a aidé à me relever, pour un jeu en duo, la musique commença de façon classique, se termina sonore et pimpante par le truchement des objets d’enfance et des jeux pour animaux.
Saxophone en plastique, xylophone Cochon, canard et carotte, s’invitèrent à l’enregistrement du tube de l’hiver, coco était venue me voir, il manquait le ballon d’amour, le cœur pourtant battait fort.
Léon et les conditions sanitaires
Le clown cracha, à plusieurs reprises pour de faux, essuya ses crachats, testa la qualité de son nettoyage.
Ce moment cracheur, c’était peut être pour exhorter le public, à conjurer un temps le sort des recommandations sanitaires. les miasmes sont définitivement exclus de mon paysage clownesque.
Léon et les enfants
Ensuite, je fis du clown avec Ambre, 12 ans, sans crier gare, sans obliger, avec une consigne simple, jouer seule ou à deux, un moment suspendu…
On demanda à un enfant de ne plus faire de bruit avec le cochon, qu’il réclamait avec insistance, ce même petit garçon avec qui j’entamais en cours de jeu, une discussion sur le travail, l’échange fut irréel, le rire collectif..
Il n’y avait pas d’issue dans cette salle, je suis parti 100 fois, 100 fois chargé de bonheur restituant la joie empruntée aux enfants.
Jamais plus du côté de Marmande
Et puis , quand l’abricot s’entêta, (sur ma tête), je le tendis à une petite âme, âgé d’à peine 1 an et quelques miettes, je l’attirai, il marcha sur scène à ma rencontre, le public dégustait cette poésie mobile….
Merci petit garçon, merci de m’avoir réchauffé le cœur, merci de m’avoir consolé de la froideur d’un soir d’automne, sur scène, le 10 décembre 2021, quelque part.
